“Cette circulaire doit être retirée ou au moins suspendue le temps que son contenu soit clarifié”, réclament plusieurs avocats de Bombay cités par le The Times of India. Ces derniers n’arrivent pas à croire à une telle disposition et avancent ironiquement l’hypothèse d’un “problème de traduction”, le texte ayant été traduit du marathi en anglais à partir d’une loi datant de l’époque coloniale britannique. Pour se défendre, “Devendra Fadnavis prétend que la circulaire avait été préparée par le gouvernement précédent”, dirigé par le Parti du Congrès, relève le site First Post. La bagarre ne fait que commencer.